Comentários dos leitores de "Le Point"
ala08110
"Que" cent mille...
jeudi 30 septembre | 12:01
Ils n'étaient que cent mille européens, pacifiquement, à dire qu'ils n'étaient pas dupes. J'y étais et en suis fier. La mondialisation est programmée, planifiée depuis plus de 50 ans. Avec l'accord béat de la plupart de nos gouvernements. La "crise" parfaitement prévisible et d'ailleurs précédée par combien de "crisettes" qui n'ont alerté personne. La diminution constante des masses salariales et l'augmentation des dividendes n'a rien d'automatique et d'incontrôlable. En ce qui me concerne, et pourtant formé à l'économie, je refuse cette facilité, ce faux prétexte, et regrette le manque de discernement et d'ingéniosité de nos représentants et gouvernants. Pourquoi n'étions - nous que cent mille ?
Delapierre
Aux barricades !
jeudi 30 septembre | 07:39
Isoler Bruxelles pour les obliger de rendre des comptes a une assemblée de personnes choisies de chaque nation ou pays, dans les comptables du milieu ouvrier ! Ces euro - profiteurs sont en train de nous écharper vif avec leurs soi - disant faillites tout en étant payées comme des rois, pour siéger quelques jours en ajustant des nouvelles mesures pour mieux nous étrangler !
L.G.
Seule une révolution. . .
mercredi 29 septembre | 23:58
Ce que ces crapules appellent la crise n'est qu'une escroquerie, une escroquerie montée de toutes pièces dans laquelle les riches se sont enrichis et que les peuples vont réparer, les peuples vont payer. Pour éviter cela des manifestations passives ou des grèves ne sont pas suffisantes seule une révolution le pourra.
lenormalien
MANIF
mercredi 29 septembre | 15:35
s'ils n'avaient pas été aussi laxistes depuis trente ans, on en serait pas là.
bernardpierremarie
Et les traders...
mercredi 29 septembre | 15:11Bravo, ça commence à bouger. Mais il n'y a pas que Bruxelles à mettre en cause. Qui a précipité la crise ? Les Banques bien entendu et les traders qui, pour améliorer leurs bonus étaient prêts à n'importe quoi. Ont - ils changé ? Non ! Impose-t-on aux Banques une ligne rouge à ne pas franchir ? Non. Tant que des pays comme les USA, le Canada, voire la Chine s'opposeront à de telles mesures nous ne sommes pas prêts de sortir du marasme. Et lorsque tous les exclus, les sans emplois et les pauvres perdront leur calme, on ne sera pas loin de se retrouver à l'aube du chaos. Si les Autorités financières préfèrent une nouvelle montée du nazisme ou du communisme, libre à elles, mais de celà, je doute que l'humanité le souhaite. C'est pourtant ce qui nous attend si nous ne commençons pas à bouger.